vendredi 6 avril 2007



Photo : F.I.G.U. Center. Photo #800.
Les habitants des pléiades semblent avoir abandonner pour un temps la terre ...
ou semblent avoir abandonner "Billy" Eduard Albert Meier ...

"Billy" Eduard Albert Meier semble tout faire ...
pour que ses nombreux et généreux admirateurs , diciples ...
n'en fassent pas autant ...

"Billy" Eduard Albert Meier





-Tout d'abord ,
je tiens à dénoncer la structure sectaire de la FIGU
l'association qui s'est montée autour de "Billy" Eduard Albert Meier .
c'est malheureux
et inadmisible
même avec les meilleurs intentions du monde
qu'il y ais cette dimension sectaire dans cette affaire .
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-L'ex femme de "Billy" Eduard Albert Meier , Kalliope Meier
dévoila dans le magazine allemand UFO-KURIER en 1997
qu'au milieu des années 70 elle sauva du feu des négatifs
sur lesquels des modèles réduits d'ovnis étaient pris en photo
pour conclure qu'en définitive Billy Meier est un affabulateur.
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-En ce qui concerne les prétendus voyages de Billy dans le cosmos
d'où il rapporta des photos de Vénus
on se rendit compte que les formations nuageuses
étaient identiques à celles prises en 1974 par la sonde Mariner 10
à l'aide d'un filtre
que les prises de vue du nuage galactique en tête de cheval
étaient la reproduction d'une image d'un livre d'astronomie
et que les deux beautés extraterrestres Asket et Néra que Meier
avait photographiées évoluaient dans une vidéo du Dean Martin Show
(vidéo confiée à l'ufologue suisse Luc Burgin)
ou les " extraterrestres "
se trémoussaient entre Frank Sinatra et Dean Martin.
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-MAIS , "Billy" Eduard Albert Meier a-t'il broder sur un fond de vérité ?
était-il manipuler ?
Le public , nombreux à son domicile ,
les télés et radios du monde , Japon , Australie , Allemagne etc
ont-elles eu une pression trop forte ?
a-t'il eu un " contact " de plus de 60 ans ?!
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Ses photos et films des ovnis réalisés sont d'une incroyable netteté
et ont fait l'objet de nombreuses études contradictoires à travers le monde.
Ni l'association des sceptiques américains
( Kal K. Korff, “Spaceships of the Pleiades: The Billy Meier Story”, Prometheus Books,
ISBN 0-87975-959-3 )
ni le magicien James Randi n'ont réussi à prouver qu'il s'agissait de mystifications
comme ils le proclamaient.
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Le fait que " Prometheus Books " édite un livre
avec comme seul sujet Billy Meier et ses preuves
Metallurgical Analysis Document et autres en bas de la page du lien )
montre un impact révélateur de son importance .
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Par ailleurs, le lieutenant-colonel de l'Air Force Wendelle Stevens
a longuement enquêté sur Billy .
Il a constitué un épais dossier contenant 3000 photos
et n'a pu déceler aucune fraude.
L'élément le plus probant , selon Stevens,
est qu'à l'occasion d'une apparition d'ovni particulière
5 photographes différents étaient présents avec Meier et purent prendre des clichés.
Quatre photos,
provenant de quatre appareils différents,
développées dans quatre laboratoires de nationalité différente,
ont représenté au même instant l'objet volant
sous quatre angles distincts.
Après avoir dépensé 60.000 dollars pour l'analyse de ces clichés
Wendelle affirme qu'il s'agit bien de photos d'un authentique engin volant non identifié
ce qui tend à confirmer l'histoire fantastique de Meier
ou au moins une partie de celle-ci.
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On dispose des étonnantes prophéties des Pléariens transmises à Meier
et dont certaines se sont révélées particulièrement exactes.
On citera par exemple l'information, écrite dans son livre « Star Wisdom » en 1971 !
selon laquelle le mont Everest n'était pas le plus haut sommet du monde
celui-ci étant en réalité le Chimborazo en Equateur (Amérique du sud).
Or l'institut National Géographie l'a confirmé récemment:
la Terre n'est pas parfaitement ronde,
et si l'on mesure la distance à partir du centre de la Terre
la plus haute montagne de la planète est le mont Chimborazo
du fait du renflement équatorial culminant à 2 mètres vingt au-dessus de l'Everest.
Il y a aussi la destruction annoncée en 1987 par les Pléariens
des tours du World Trade Center suite à une attaque terroriste .
Pour ne parler que des plus actuelles .
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Les Navajos , eux aussi nous disent comme "Billy" Eduard Albert Meier
que nos ancétres sont arrivés sur la terre à partir des pléiades ...
et que nos ancétres des pléiades continuent à nous rendre visite ! http://www.sciencecases.org/pleiades/pleiades.asp
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Les premieres 700 pages de ses conversations avec ses ET
qui sont souvent hors normes en 1975
( il parle de voyage galactique immobile ou presque en 1,5 seconde ...
pour parcourir des milliards de kms ...
aprés que les ETs ont chauffer la soucoupe pendant 3h30/4h dans notre espace proche
( = 8h de voyage A/R pour que les ETs rejoignent les pléiades) )
semblent inspiré les milliers de pages suivantes .

" TROUBLES DANS LE CIEL ; OVNIS, LE NUCLEAIRE RESPONSABLE DU PHENOMENE ? "



Résumé :
" TROUBLES DANS LE CIEL ;
OVNIS, LE NUCLEAIRE RESPONSABLE DU PHENOMENE ? "
propose l'une des rares enquêtes officielles mondiales
consacrées aux objets volants non identifiés (ovnis).
L'auteur s'appuie sur vingt-sept années d'enquête
au cours desquelles il a expertisé les cas les plus étranges,
interrogé les témoins et conduit les analyses scientifiques
parmi les plus pertinentes jamais réalisées .

Grâce à l'analyse rigoureuse de milliers de pages
de documents militaires américains déclassifiés,
par la mise en évidence des passages d'ovnis révélés
par les radars aéronautiques civils et militaires,
Jean-Jacques Velasco en tire aujourd'hui
les conclusions scientifiques - et citoyennes - qui s'imposent :
Les ovnis sont des engins matériels.
Leur origine probable est extraterrestre.
Il existe une relation entre les tests et les bombes nucléaires humains
et l'apparition de ces curieuses machines...

4° de couverture :
Les ovnis existent-ils ?
Que sont-ils ?
Quel lien établir entre eux et nous ?
Au Cnes, pendant près de trente ans,
Jean-Jacques Velasco a expertisé les cas les plus étranges
de phénomènes aérospatiaux non identifiés,
interrogé des centaines de témoins et conduit les analyses scientifiques
parmi les plus poussées jamais réalisées.
Il livre dans cet ouvrage rédigé à titre personnel l'une des rares enquêtes mondiales
consacrées au objets volants non identifiés.

L'auteur a analysé des milliers de pages de documents historiques
militaires et civils américains déclassifiés,
en rapport avec le passage d'ovnis
repérés par les radars civils et militaires
et en tire les conclusions qui s'imposent.
Il met notamment en évidence les relations
entre tests nucléaires et apparitions de ces curieux engins.

Né en 1946, Jean-Jacques Velasco a été responsable, au sein du Cnes,
du Gepan,
devenu Service d'expertise des phénomènes rares atmosphériques (Sepra), de 1983 à 2004.
On lui doit notamment : Ovnis, la science avance (Robert Laffont, 1993).

Journaliste d'investigation, Nicolas Montigiani est l'auteur d'ouvrages
en rapport avec l'étrange et l'inexpliqué,
dont les Crop Circles, manoeuvres dans le ciel (Carnot 2003)
et Projet Colorado : l'existence des ovnis prouvée par la science (JMG éditions, 2006)

Extrait de l'introduction :
Tant et tant de livres ont été écrits sur les ovnis...
On y a vu des hallucinations collectives, des aberrations optiques,
des hordes d'envahisseurs, des voyageurs du temps,
des images surgies de l'inconscient, des touristes du cosmos, des dieux, des anges,
des elfes, des lutins, des «intra-terrestres», des «paraterrestres»...

On a cru qu'«ils» cherchaient du sel, de l'or, du pétrole
ou même qu'ils venaient s'accoupler aux belles Terriennes.
On leur a parfois prêté un goût morbide pour la charolaise...

Jusqu'à présent, nous n'avons jamais prouvé qu'«ils» existent
et nous n'avons pas encore «identifié» ces fameux «objets volants».
Peut-être parce que le spécialiste français, dont le métier - qu'il exerça de 1983 à 2005 -
était d'enquêter sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés, n'avait encore jamais parlé.
Ou si peu... Il se nomme Jean-Jacques Velasco.

Velasco, c'était «M. Ovni», l'officiel, l'inapprochable,
celui que les ufologues passionnés soupçonnaient de vouloir taire la vérité.

Jean-Jacques Velasco dirigea le Sepra -
Service d'expertise des phénomènes rares atmosphériques -
au sein du très sérieux Centre national d'études spatiales, le Cnes (Toulouse).

C'est bien connu, si un organisme officiel comme le Cnes
vous charge d'enquêter sur un sujet controversé,
c'est pour que vous taisiez la vérité, affirment les tenants de l'éternelle hypothèse du complot !

Quelle vérité, finalement ?
Celle d'un homme simple, honnête, passionné, têtu,
que je rencontre un beau jour de décembre 2003...


Quels interets , les extraterrestres ont-ils a favoriser notre evolution ?
Deja pour occuper le terrain ...


Puisque la vie est banale !

Claude-Alain Roten, exobiologiste et génomiste
à l'Université de Lausanne :

" Savoir que nous ne sommes pas seuls dans l’univers, qu’est-ce que ça change au fond ? "
" En tant que scientifique, j’ai envie de savoir, de comprendre
ce qui s’est passé au moment des origines.
Et si, à l’arrivée, il s’avère que nous sommes tous des étrangers sur notre propre planète,
je trouve cette version de l’histoire plutôt sympathique.

Plus largement, la question centrale que pose ce genre de recherches est la suivante :
la Terre est-elle un endroit banal dans l’univers,
ou est elle un endroit magique, le seul où la vie ait pu naître ?
Personnellement, je reste persuadé que la Terre est tout à fait banale."

http://www2.unil.ch/spul/allez_savoir/as22/pages/as22_sciences.html

La conviction est le moteur qui va servir à payer les efforts
qui sont nécessaires pour être objectivement crédible.

L'atterrissage de Forbach (1954)

La "soucoupe" était sur la route :

FORBACH - Jeudi soir [7 Octobre 1954], vers 19 h 20, revenant de sa tournée de distribution, le chauffeur de la firme Coca-Cola, M. Bou Charles, 30 ans, demeurant à Stiring-Wendel, 21 rue Nationale, se trouvait, après la traversée de Rosbruck sur la Route Nationale n° 3, à l'entrée de Morsbach lorsque tout à coup, son attention fut attirée par un engin se trouvant sur cette route.

M. Bou, étonné, crut à un accident de la circulation et stoppa son camion à quelques mètres de l'engin. C'est alors qu'il se rendit compte, en descendant de son véhicule, qu'il s'agissait d'un engin circulaire d'un diamètre de 9 m et d'une hauteur de 4 m environ (plus de 2 fois la taille d'un homme normal), qui était éclairé par plusieurs faisceaux de lumières dirigés vers la terre.

S'étant approché et se trouvant à quelques mètres de cet engin bizarre. M. Bou vit tout à coup l'engin décoller à la verticale et s'élever à 10 m environ en l'air, pour se propulser ensuite en direction de Morsbach. Toute cette scène se passait dans l'espace de quelques secondes devant le chauffeur ahuri.

M. Bou, encore sous le coup de l'émotion, reprit sa route et se rendit chez son patron, à qui il décrivit la scène, et alla en référer à la gendarmerie. Le capitaine Bohler, averti, se rendit avec M. Bou sur les lieux, mais ne put déceler aucune trace sur la chaussée. Il interrogea longuement le chauffeur, qui lui déclara que la soucoupe avait la forme d'une assiette géante, de couleur bleue. Il n'a pas vue d'ouverture ni d'occupant. L'engin en décollant, ne fit aucun bruit, pas de déplacement d'air et ne changeant pas de couleur.

Au moment de l'apparition il pleuvait et M. Bou déclare que lorsque l'appareil s'est élevé et disparu il avait une vitesse excessive n'étant même pas à comparer avec un avion à réaction.

Le plus étonnant de l'affaire et que M. Bou, visitant un client quelques instants avant, à Merlebach, déclarait à celui-ci qu'il ne croyait pas à ces histoires de soucoupes volantes. Il fut d'autant plus effrayé en voyant cet engin.

Le chauffeur que nous avons vu au cours de son interrogatoire par le capitaine Bohler, paraît être de bonne foi et était encore hier matin sous le coup d'une émotion visible [Le Lorrain, Nancy, Samedi 9-Dimanche 10 Octobre 1954, p. 7 < Sider 1997].

En 1989, Jean Sider écrit au Ministère de la Défense ainsi qu'à la Direction Générale de la Gendarmerie Nationale qui lui répondront que le dossier est classifié pour 60 ans.

mercredi 4 avril 2007

Dechmont Woods, Ecosse, 9 novembre 1979:

Le 9 novembre 1979, à environ 10:00 du matin, Robert Taylor, un homme marié, père de cinq enfants, âgé de 61 ans, résidant à Livingston et ouvrier de sylviculture employé par Livingston Development Corporation à quitté son domicile. A environ 10:30 du matin, il a garé son pick up au bord d'un chemin menant à une plantation au bas de Dechmont Law, un bois bordant la forêt de Dechmont, juste au bord de l'autoroute très fréquentée M8, près de Livingston, Lothian occidental en Ecosse.

Il s'était garé aussi près que possible d'une clairière dans cette plantation, qu'il devait inspecter pour vérifier s'il s'y rtouvait des vaches ou des moutons perdus, ce qui faisait partie de son travail.

Accompagné de son setter irlandais Lara, il a suivi ce qui restait à parcourir d'une voie à travers la pente inférieure de la colline de forêt, a tourné en un coin et émergé dans la clairière.

L'OVNI:
Dans la clairière, devant lui, se trouvait un grand objet circulaire, d'environ 20 pieds de large et 12 pieds de haut, reposant sur le sol ou planant juste au-dessus.

Il a paru être constitué d'un matériau métallique gris foncé avec une texture évoquant le papier émeri, dont des parties devenaient comme semi transparentes parfois, laissant voir les arbres derrière lui, comme si l'objet essayait de se camoufler.

Un anneau saillant faisait le tour de la circonférence de l'objet, juste à mi-chemin de sa moitié basse, et Taylor a pensé qu'il l'a rappelé le bord d'un chapeau. Une ligne de bras tournants était placé sur cette jante. Quelques parties sombres ont été vues sur le corps de l'objet, lesquelles ont ressemblé à des hublots.

L'objet n'a émis aucun bruit. Lara, sa chienne, qui était à ses côtés, s'est figée sur place et a regardé l'objet, comme Bob Taylor.

Deux sphères:

Tandis qu'il observait sans bouger, deux objets sphériques avec des pointes ont chuté du bas de l'objet plus grand. Ces deux sphères étaient aproximativement de deux pieds de large et il les a plus tard décrites comme étant tout à fait semblables à mines marines telles qu'utilisées lors de la deuxième guerre mondiale, sauf que les pointes étaient plus longues que celles de mines marines, donnant un diamètre pointe comprise d'environ 3 pieds. Les sphères paraissaient métalliques, semblables au matériel de l'objet plus grand, et faisaient des bruits de succion effrayants faits pendant qu'elles tombaient de l'objet et impactaient la terre humide.

Rencontre très rapprochée:
"Ces choses genre mines marines sont sortis d'au-dessous et ont saisi mon pantalon et l'on déchiré jusqu'à ma peau."

Tandis que Taylor regardait avec stupéfaction et crainte, les deux sphères avec leurs pointes se sont précipitées vers lui depuis la direction de l'objet, en rebondissant et roulant au sol. Son chien aboyait maintenant très fort.

Les deux sphères sont arrivées à lui en roulant rapidement de concert vers ses pieds gauche et droit. Les pointes des sphères se sont allongées et se dont fixées aux pantalons de Bob en le tirant vers le plus grand objet, déchirant le tissu de son pantalon ce faisant. Taylor entendait maintenant un net sifflement et sentait une odeur acre qui l'a fait tousser.

Il a alors perdu conscience et s'est effondré sur place, juste après avoir entendu un son net semblable à celui d'une canne battant l'air vigoureusement.

Pénible reprise de conscience :

"Quand je suis revenu à moi j'ai entendu un bruit de quelque chose se déplaçant très rapidement au loin dans la distance. J'ai fini par arriver à me mettre sur mes genoux et j'ai rampé vers mon camion mais il était mort."

Taylor a repris Conscience après un moment. Il était couché face contre terre sur l'herbe, les jambes de son pantalon était déchirées, il souffrait d'un mal de tête et ses jambes lui faisaient mal. Il avait la gorge endolorie et un goût amer étrange dans sa bouche. Il s'est rendu compte qu'il ne pouvait pas se lever ni parler.

Il a été évalué plus tard qu'il avait été inconscient pendant quinze ou vingt minutes. Il ne restait rien à voir dans la clairière, mais son chien courait aux alentours en aboyant comme un fou et il a remarqué qu'il y avait des marques dans la terre là où l'objet s'était trouvé.

Se sentant faible et étourdi, et incapable de se mettre debout, il s'est traîné jusqu'à son pick up et a commencé à rouler. Mais il était tellement mauvaise forme qu'à un moment il a versé dans un fossé. Le petit camion étant coincé dans la boue, et il a dû marcher plus d'un mile, en trébuchant et tombant, pour atteindre sa maison de Livingston, au bord des bois de Dechmont.

La police :
Son épouse a vu immédiatement qu'il a eu un accident ou avait été attaqué, et il a confirmé les deux, ajoutant que les attaquants n'étaient pas exactement humain.

Elle a rapidement téléphoné au docteur, à la police, et à Malcolm Drummond, le patron du Bob Taylor, qui est arrivé à la maison pour entendre son histoire, quoique l'homme ait encore été sous le choc, avait un mal de tête et continuait à dire qu'il avait été "gazé."

Le docteur a envoyé Bob Taylor à l'hôpital, mais il en est sorti tout seul plus tard sans avoir été examiné. Il a souffert de mal de tête pendant des heures et a eu une soif terrible qui a duré pendant deux jours. Il a cependant a récupéré sans séquelles.

Les officiers de police ont traité l'affaire sérieusement. Plutôt que de ricané, ils ont considéré le dossier comme celui d'une agression par une ou des personnes inconnues.

Ils se sont rendus à la clairière avec Malcom Drummond. Ils ont trouvé le pick up de Taylor et également des marques en forme d'échelons dans le sol, dont Drummond a remarqué, "des marques sur la terre qui ont semblé indiquer que quelque chose était descendu verticalement et a fait ces impressions dans l'herbe." Ils se sont interrogés d'abord sur la ressemblance avec des traces de bulldozer ou de lourdes machines, mais les entourant, il y avait quarante trous peu profonds qui correspondaient au récit du témoin au sujet des boules avec des pointes qui avaient rebondies vers lui. Ces marques correspondaient au cheminement des objets évoquant des mines marines.

La police a clôturé l'endroit. Des photographies des traces ont été prises. Ils ont été totalement déroutés parce que les traces se trouvaient seulement dans un secteur. La terre autour du lieu de l'incident était molle mais aucun signe de traces d'arrivée ou de départ n'avaient pu être découvertes. Il n'y avait aucune indication de la façon dont n'importe quel véhicule qui aurait causé les traces pourrait être arrivé dans la clairière sans laisser les mêmes traces sur son chemin.

Ils ont recherché parmi les entreprises locales n'importe quel objet qui pourrait avoir été piloté là. Les résultats de cette recherche ont encore été négatifs.

Ils ont noté qu'aucun objet dans la clairière ne pourrait avoir été vu par d'autres témoins de la route voisine en raison des arbres.

Malcolm Drummond a noté:
"Il n'y a aucun doute dans mon esprit que ces marques ont été faites par par un objet plus lourd qu l'air parfaitement solide. Elles avaient été faites par une certaine machine qui était venue verticalement et s'était posée... Je ne crois pas du tout aux extraterrestres. La seule conclusion à laquelle je puis arriver est que cela doit avoir été un objet artificiel... une certaine sorte de machine secrète appartenant à un des services gouvernementaux."

Le sergent détective Tan Wark, un membre de l'équipe de police affectée au cas, a admis qu'il était fortement sceptique quand il a été envoyé vers les lieux, mais qu'avec son examen des quarante trous et des traces étranges de tracteur à chenilles il a été embarrassé. Il a vérifié tout l'équipement de sylviculture utilisé dans le secteur; aucun n'avait eu de correspondance avec les traces faites.

Aucune indication du moindre trafic d'hélicoptère dans la région n'a été trouvée pour ce jour là, ni même pour le jour précédent. Une fouille du secteur autour de la clairière a été faite afin de voir s'il y avait des signes de n'importe quelle grue mobile qui pourraient avoir été employés pour déposer quelque chose dans le sol, mais rien n'a été trouvé.

Le rapport de police disait:
"Les marques ont indiqué qu'un objet de plusieurs tonnes s'était tenu là mais aucune information n'a été obtenue pour les expliquer."

Après les recherches, Wark n'avait plus aucun doute. Il a dit:
"A mon avis, M. Taylor a véritablement rapporté ce qu'il a vu ou pensé avoir vu."

Il a de nouveau confirmé plus tard:
"Nous sommes toujours déroutés... l'affaire n'est pas classée."

La police a envoyé le pantalon de Bob Taylor à Edimbourg pour analyse légale. Lester Knibb, un scientifique de la police, y a trouvé clairement des marques d'arrachage de chaque côté, conformes à l'histoire du témoin au sujet d'avoir été au niveau de la taille par les deux objets en forme de mines marines avec des pointes.

Naturellement le laboratoire de police ne pouvait pas indiquer que ceci devrait prouver quoi que ce soit, mais Knibb a indiqué:
"Les dommages pourraient avoir été causés de la manière que le témoin dit. Mais ils exigeraient quelque chose de mécanique. Ce n'était pas quelque provoqué par une décharge électrique ou un éclair de foudre."

A ce jour, le dossier de police reste toujours ouverts, les autorités locales ont marqué l'emplacement avec une plaque, qui a été volée depuis, et les pantalons déchirés sont maintenant dans les archives de BUFORA.

Malcolm Robinson du groupe d'ufologie S.P.I Ecosse a étudié le cas et a passé de nombreuses heures avec Bob Taylor.

Il a écrit:
"S.P.I a pu avoir le pantalon porté par Bob ce jour là et les a fait examiner par des experts légaux. Ils sont d'une lourd et robuste matière de serge, semblable à ceux utilisés par les forces de police. Les test ont indiqué que les déchirures le tissu étaient conformées à l'application d'une force considérable dans une direction ascendante. Ce n'est pas en soi concluant, mais cela ajoute du crédit à l'histoire. Il devrait être noté que Bob est un homme terre-à-terre et ne donne pas dans la fantaisie et était considéré par ses collègues comme une personne fiable et stable."

Les sceptiques
Les sceptiques ont essayé les explications les plus absurdes, telles que la foudre en boule ou une unité de désamorçage de bombes, mais le sommet a été atteint quand Steuart Campbell, un chroniqueur scientifique et auteur de livres de debunking, ancien membre du BUFORA, a d'abord dit que Bob Taylor avait été témoin d'un "mirage de Vénus:"

"Ce qu'il a probablement vu était un mirage atmosphérique de Vénus provoqué par la déformation de la lumière par l'atmosphère de la terre."

Quant au deux plus petits objets qui ont attaqué le témoin, il a effectué des calculs astronomiques complexe pour démontrer qu'ils étaient des "mirages de la planète mercure."

"Les mirages astronomiques dépendent d'une variété de conditions préalables. Ils se fondent, par exemple, sur une couche d'air chaud recouvrant une froide. Tandis que ceci se déplace dans l'atmosphère, il en est de même de l'image magnifiée projetée sur des millions de kilomètres de distance, persuadant des terriens alarmés qu'ils sont témoin d'un show de haut niveau d'acrobaties aériennes extraterrestres."

(Il a poursuivi en écrivant que les célèbres photographies de Trindade étaient un mirage de Jupiter - ignorant apparemment que le debunker célèbre Donald Menzel avait il y a longtemps prétendu qu'elles montraient un mirage de Saturne - et il a affirmé que les mirage sont théorie correcte pour expliquer 90% de tous les rapports d'OVNIS.)

Mais parce que ceci semblerait trop ridicule, il a ajouté que les "mirages de Vénus et de Mercure" ont provoqué une crise épileptique qui a fait avoir à Bob Taylor tout lévénement qui n'était qu'une hallucination.

Taylor répondit poliment:
"Je puis vous assurer que Vénus n'a rien à voir avec cela. Je suis vraiment certain que ce que j'ai vu était la vraie chose, un véhicule de l'espace."

De façon intéressante, le même Steuart Campbell avait indiqué plus tôt, quand il était un coordonateur des recherches au BUFORA, après les deux premières années et demi d'investigations auxquelles il a participé: "après que nos investigations nous n'avons eu aucune raison d'être incroyant au sujet du récit de M. Taylor. En fait, il est le témoin le plus digne de confiance d'une rencontre rapprochée que le BUFORA ait jamais eu." Il se trouve que par la suite Steuart Campbell a été éjecté du BUFORA parce qu'il ne voulait pas signer leur charte de déontologie. Peu après, il se lançait dans une carrière de chroniqueur "scientifique" et écrivait des livres de debunking du monstre du Loch Ness, de Jésus Christ et des OVNIS.

Duncan Lunan, un chercheur sur le "paranormal," a indiqué que l'explication la plus plausible était que M. Taylor avait vu une opération militaire pour récupérer un avion sans pilote accidenté en utilisant un type de disposition de "brouette" de ramassage de bombe qui plus tard est devenu familière de par son utilisation en Irlande du Nord. Comment ceci pourrait coller avec l'objet rond semi transparent silencieux et les attaques des deux "mines" rebondissantes sur les jambes, et l'inconscience subséquente de Robert Taylor, ses maux de tête etc. n'a pas été indiqué.

En réalité:
Bob Taylor n'avait jamais eu la moindre crise d'épilepsie ni avant ni après l'événement.

Ce sur quoi étaient d'accord tous ceux qui ont parlé au témoin ou l'ont connu était Bob Taylor était un homme de caractère, pas du tout un farceur ou un inventeur d'histoires. Il n'y avait jamais eu et il n'y a toujours pas le moindre changement dans ses compte rendus au cours du temps. Il a jamais activement cherché la publicité, et n'a jamais gagné quoi que ce soit de la publicité produite au moment de l'événement, qui était plus un souci qu'autre chose pour lui.

Bob Taylor est maintenant (2004) un veuf, retraité, et se rappelle l'événement avec une totale clarté. Il s'est résigné à la conclusion qu'il n'y avait pas d'explication banale à ce qui s'était produit ce jour de novembre. Il est heureux d'être simplement laissé tranquille, loin de la frénésie qui a entouré l'événement original.